En soutenant la Fondation de l’AP-HP,
vous agissez au cœur
de vos hôpitaux,
au
plus près des besoins
de tous les patients.
Mon père souffre d’un cancer du sang mais en ce moment on est autant stressés par les
risques de thromboses liés à sa chimio qui sont aussi dangereuses pour lui que le cancer ».
Ma sœur a eu un AVC il y a quelques mois et sur le coup nous avons tous pensé
qu’elle avait eu beaucoup de chance puisqu’elle ne semblait pas avoir de séquelles.
Quelques semaines plus tard, nous avons su que ça ne se passait pas bien dans son entreprise,
et ses enfants la trouvait très différente ».
Mon enfant est sourd de l’oreille droite. Il entend la plupart du temps un
brouhaha ce qui entraîne d’importants troubles de l’attention et le freine grandement dans sa
scolarité. Je crains vraiment pour son avenir ».
Grâce à vos dons,
la Fondation de l’AP-HP
agit pour tous les patients aux côtés des équipes de l’AP-HP.
Bloc Opératoire Augmenté : des technologies
innovantes pour améliorer les pratiques chirurgicales
Développer des outils pour améliorer la précision du geste chirurgical et
réduire le risque d’erreur, telle est l’ambition du Bloc Opératoire Augmenté (BOPA) soutenu par les mécènes de la Fondation de l’AP-HP.
Ce vaste projet de recherche identifie les problèmes rencontrés au bloc opératoire et apporte des solutions
humaines et technologiques. Simulation d’une opération la veille de l’intervention, téléassistance
ou encore assistant vocal grâce auquel le chirurgien pourra obtenir, en temps réel, des informations
concernant le patient qu’il est en train d’opérer… D’abord testées au sein d’un bloc factice, ces
solutions seront ensuite expérimentées, finalisées, validées puis diffusées à l’ensemble de l’AP-HP.
355 126 actes chirurgicaux sont pratiqués chaque année dans les
hôpitaux de l’AP-HP.
« La téléassistance par exemple, peut permettre à un chirurgien qui souhaite contacter un centre
expert de réaliser une connexion avec un chirurgien expert qui va observer en direct ce qui se
passe dans le bloc opératoire, même à plusieurs kilomètres de distance ».
Professeur Eric Vibert,
chirurgien à l’hôpital Paul-Brousse AP-HP
Patients en chimiothérapie :
réduire les risques de thrombose
Les thromboses sont des complications fréquentes et graves chez les patients atteints de cancer.
Il s’agit de la 2e cause de décès, tous stades confondus. La thrombose et son traitement sont
vécus par les patients comme une source d’angoisse qui se surajoute au cancer. Elle nécessite
un suivi très régulier par des professionnels de santé.
Afin d’améliorer la qualité de vie des patients, l’équipe de Médecine Interne de l’hôpital
Saint-Louis AP-HP a élaboré un programme d’éducation thérapeutique (ETP) individualisé.
1 patient en chimiothérapie sur 5 va développer une thrombose liée au cancer.
« Il est très inquiétant pour un patient sous chimiothérapie de devoir en plus, faire face
aux risques de thrombose. L’application que nous développons vise à réduire leur stress et améliorer
leur qualité de vie. Notre objectif est qu’à terme, elle soit disponible dans tous les hôpitaux de
France ».
Arlette Ndour
Hôpital Saint-Louis AP-HP
Soutenue par la Fondation de l’AP-HP via le Passeport Temps Recherche
AVC de l’hémisphère droit : mieux
évaluer les troubles des patients
Un AVC dans l’hémisphère droit du cerveau peut provoquer des troubles de la communication et des
relations sociales, qui passent parfois inaperçus au début. Grâce aux donateurs de la Fondation,
Marie Villain a lancé un projet de recherche visant à mieux comprendre les difficultés des
patients concernés pour leur apporter des réponses adaptées et les aider à retrouver une vie sociale.
150 000 personnes victimes d’un AVC chaque année en France.
« Après une lésion de l’hémisphère droit il arrive que des proches de patients nous disent
que la personne a changé, sans savoir définir exactement pourquoi : elle est indifférente ou
a tendance à répondre à côté ».
Marie Villain, orthophoniste, service de médecine physique et réadaptation de la Pitié-Salpêtrière, AP-HP.
Surdité unilatérale de l’enfant :
Vers de nouvelles solutions ?
Jusqu’à aujourd’hui, les enfants sourds d’une seule oreille n’étaient pas appareillés avec des
implants. Grâce au mécénat, la Fondation a pu recruter une chercheuse audiologiste qui exerce au
sein du Centre de Recherche en Audiologie pédiatrique de l’hôpital Necker Enfants-Malades AP-HP,
pour fournir de nouvelles solutions à ces jeunes patients.
1 enfant sur 1000 naît avec une déficience auditive ou est dépisté avant deux ans soit 700 enfants par an.
« J’ai d’abord participé au lancement du Centre de Recherche en Audiologie, une structure de
recherche clinique récemment ouverte à l’Hôpital Necker – Enfants Malades. En tant qu’audiologiste
de recherche clinique, je suis responsable de la conceptualisation des projets de recherche, de la
rédaction des propositions et de l’exécution des protocoles de recherche ».
Melissa Macaskill,
chercheuse audiologiste
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Depuis son lancement en 2016, la Fondation de l’AP-HP soutient grâce à ses donateurs, l’organisation des soins,
le personnel hospitalier et la recherche au sein des hôpitaux de l’Assistance publique - Hôpitaux de Paris.
38
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36 120
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un don à la Fondation
435
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